Les missions du Gefluc
Depuis 1975, le Gefluc s’appuie sur les dons des entreprises, salariés et particuliers pour :
euros distribués en 2022 sur le territoire Dauphiné-Savoie
euros distribués depuis 1975
euros distribués à fin 2020 par les Gefluc en France
Grâce à votre générosité…
10 450 euros pour le Projet “Evaluer les capacités préventives des cancers par un régime riche en fibres”
En 2020, le Gefluc Grenoble a financé le projet de recherche du Docteur Dalil Hannani, pour le compte du CNRS. Ce projet vient compléter celui financé en 2018 : “Optimiser la composition de la flore intestinale à l’aide de pré-biotique pour améliorer l’efficacité de l’immunothérapie anti-tumorale“
Pour être au plus proche de la réalité chez l’Homme, ce présent projet vise à tester si une alimentation riche en prébiotique peut aider à réellement prévenir l’apparition de cancers quand on est exposé à des substances cancérigènes.
12 000 euros pour la recherche sur le cancer ovarien
En 2020, le Gefluc Grenoble a financé le projet de Nadia Alfaidy, directrice de recherche INSERM pour le compte du CEA. Le sujet traite de la caractérisation du rôle de l’EG-VEGF (Facteur de croissance endothélial vasculaire dérivé de la glande endocrine) et de ses récepteurs dans le développement et la progression du cancer ovarien.
Il faut savoir que le cancer de l’ovaire séreux de haut grade est considéré comme le plus mortel des cancers gynécologiques.
En 2020, Financement d’un appareil d’hypno thérapie virtuelle dans le service de réanimation et surveillance continue pédiatrique
Le masque d’HYPNOVR est un masque d’hypnose médicale par la réalité virtuelle. Il vise à emmener le patient dans un environnement apaisant pour lui et permettre :
– À court terme, diminuer l’anxiété chez l’enfant, pendant un soin douloureux, en préopératoire et en postopératoire.
– À moyen terme, un souvenir moins péjoratif de son passage en réanimation pédiatrique, une anxiété moindre, et donc une appréhension des soins moins prononcée chez l’enfant pour sa construction future.
– À long terme, espérer utiliser moins de sédations, moins de médicaments pour réduire les effets secondaires des traitements, les complications possibles et la durée d’hospitalisation de certains patients, en particulier le MEOPA (protoxyde d’azote) chez les enfants drépanocytaires.